Les bienfaits de l’Acerola : une baie pleine d’énergie

Les bienfaits de l’Acerola : une baie pleine d’énergie

Cerise des Barbades

L’acérola est également appelée cerise des Barbades ou cerise des Antilles, elle provient d’Amérique centrale ou du Brésil. Elle contient de nombreux bienfaits qui font d’elle un superfruit.

Préférez l’Acerola issue de culture biologique, ce qui vous garantira une absence de produits chimiques de synthèse tels que les pesticides et  OGM.

L’Acérola est traditionnellement utilisée pour aider à réduire la fatigue et pour sa participation au bon fonctionnement du système immunitaire. Prise sous forme de complément alimentaire naturel, cette cerise donne la pêche !

L’Acérola est célèbre pour son record de concentration en vitamine C, elle en contient  30 fois plus que l’orange.Elle pousse majoritairement au Brésil et présente des caractéristiques hors concours concernant la vitamine C : 40 g de cerise acérole en contiennent autant qu’un kilo d’orange ! Les niveaux en vitamine C dépendent de la maturité du fruit, de la saison de récolte ainsi que du climat.

L’acérola contient également deux fois plus de magnésium, de vitamine B5 et de potassium que l’orange. Elle contient aussi de la vitamine A, de la thiamine, de la riboflavine et de la vitamine B3 (niacine) à des concentrations comparables à celles d’autres fruits. On y trouve également du fer, du phosphore ainsi que du béta-carotène et des polyphénols qui sont de puissants anti-oxydants.

La vitamine C n’étant pas stockée par le corps, elle doit donc être constamment apportée par l’alimentation. A défaut, ou en cas de besoins accrus, les compléments alimentaires à base d’Acérola apportent naturellement de la vitamine C. Ils participent aux apports journaliers recommandés.

VOS BENEFICES BIEN-ETRE GRACE A L’ACÉROLA BIO :

  • une sensation générale de dynamisme et de regain d’énergie,
  • une contribution au bon fonctionnement du système immunitaire, en prévention des maux de l’hiver,
  • un organisme moins en prise au vieillissement cellulaire (action anti-oxydant naturel),
  • des os et des articulations plus forts.

En complément d’une alimentation saine, riche en fruits et légumes, des cures sont intéressantes à l’approche de l’hiver, lors de périodes particulièrement stressantes ou fatigantes ou bien en cas d’activité physique accrue.

L’intérêt d’un apport en vitamine C sous cette forme naturelle (contrairement à une vitamine de synthèse) est la présence de flavonoïdes, pigments végétaux aux propriétés antioxydantes. 
Ces flavonoïdes permettent une bonne assimilation de la vitamine C par l’organisme. Ils garantissent ainsi l’efficacité de l’Acérola.

L’Acérola est également riche en minéraux : calcium, magnésium, phosphore et potassium. Ces minéraux interviennent dans la construction, la solidité et la densité osseuse ainsi que dans le fonctionnement neuromusculaire.

SOUS QUELLE FORME CONSOMMER L’ACÉROLA ?

On la trouve principalement sous forme de poudre, gélule, comprimés. Les formes poudres et gélules vous permettront de consommer une acérola bio sans ajouts de sucres, édulcorants ou autres additifs.

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Le Mastic de l’île de Chios

Le Mastic de l’île de Chios

 Une résine naturelle AOP

Le MASTIC est une résine séchée issue d’un arbuste méditerranéen: le lentisque traditionnellement utilisé en Orient comme « gomme à mâcher » pour les protéger les genvices et rafraîchir l’haleine.

Dans l’île de Chios, en Grèce, cette résine est exploitée sous le nom de « MASTIKHA » ou MASTIC.Le mastic de l’île de Chios est réputé depuis l’Antiquité tant pour son arôme particulier que pour ses qualités thérapeutiques. Le mastic de Chios est labellisé AOC et AOP depuis 1997. La culture traditionnelle du mastic de l’île a quant à elle été inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO en 2014.

Quand est la récolte du Mastic ?

Le MASTIC se récolte de juillet à octobre, en incisant l’écorce du lentisque, arbuste de 2 à 3 m de haut à feuilles persistantes. De ces incisions s’écoule peu à peu une résine de couleur jaune à l’odeur balsamique qui se transforme en petites larmes qui sont séchées à l’air pour les faire durcir. On obtient ainsi des grains de MASTIC. Chaque arbre peut produire de 150 à 180 grammes par an de MASTIC.

Dès la fin du XIXe.

Fin XIXème, le MASTIC a été utilisé en Europe comme anti-diarrhéique pour les enfants, comme antiscorbutique ainsi que sous forme de cataplasme ou pour faire des fumigations. En dentisterie, il servait aussi à l’occlusion des dents cariées. 

Aujourd’hui de nombreuses études scientifiques confirment les propriétés thérapeutiques du mastic même à faibles doses (1 g par jour pendant deux semaines). Son efficacité face à la bactérie «Helicobacter pylori» a été récemment montrée. Il peut ainsi être utilisé dans les cas de remontées acides, brûlures d’estomac, ballonements…

Le mastic est aussi efficace pour rafraîchir l’haleine, prévenir la formation de la plaque dentaire et du tartre, prévenir l’inflammation des gencives et des caries dentaires. Sans oublier le bien-être de la gorge !

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D’où vient la propolis ?

D’où vient la propolis ?

Origine de la propolis

Bien avant d’être utile pour l’homme et exploitée dans de nombreux domaines d’application, la propolis reste avant tout un produit indispensable à l’abeille.

La propolis est une  substance résineuse récoltée par un nombre restreint d’abeilles,  les butineuses, qui sont les abeilles les plus âgées et les plus expérimentées de la ruche. Elles effectuent uniquement ce travail de récolte particulier et fastidieux. Leur mission se cantonne à recueillir les résines situées au niveau des bourgeons apicaux sur diverses espèces végétales (telles que le peuplier, le boulot, l’aulne, l’orme, le hêtre et certains conifères), et dans certains cas celles excrétées au niveau de l’écorce des arbres visités.

La récolte dépend de nombreux facteurs sans pour autant répondre à des règles bien définies, et s’avère être plutôt constante pendant la période d’activité des abeilles (du printemps à la fin de l’automne). Ainsi, à l’aide de ses mandibules, la butineuse va prélever et modeler les résines qui l’intéressent avant de les déposer sur les corbeilles de ses pattes postérieures. L’abeille mettra parfois plusieurs heures à étoffer sa pelote de propolis et devra retourner à la ruche, afin de se ravitailler.

Dès lors, les ouvrières vont prélever les quantités utiles de propolis en l’étirant en fil jusqu’à ce qu’il se rompe. Du fait de la viscosité et du pouvoir collant de la propolis, il est rare que celle-ci soit utilisée en l’état. Ainsi, pour éviter tout enlisement qui s’avèrerait fatal aux autres abeilles de la colonie, les ouvrières vont incorporer de la cire afin de donner une texture malléable, mais suffisamment rigide au produit.

UTILISATION DE LA PROPOLIS PAR L’ABEILLE

La propolis, une fois prélevée de sa source végétale, est ramenée à la ruche et utilisée par l’abeille de différentes façons:

  • ciment pour coller les différents éléments de la ruche, boucher les fissures du bois, réduire le trou de vol pour mieux contrôler le passage des intrus, tels que les souris.
  • Isolant thermique idéal pour maintenir une température constante pour le développement du couvain.
  • Traitement antiseptique des cellules de cire avant la ponte de la reine qui se réalise ainsi dans un milieu très propre.
  • Lutte biologique, en recouvrant l’intérieur de leur habitat d’une fine pellicule de cette résine, les abeilles se mettent à l’abri des maladies. De par sa composition très adaptée et complexe, elle protège la colonie contre de nombreuses infections microbiennes, virales et fongiques qui la menacent constamment.  Les cellules de cire dans lesquelles la reine va déposer ses œufs sont elles aussi tapissées d’une pellicule de propolis qui forme un milieu stérile pour le développement harmonieux de l’œuf.

UNE COMPOSITION UNIQUE

La propolis brute récoltée au niveau de la ruche doit être purifiée. Elle est donc dissoute dans une base hydro-alcoolisée  pour séparer les éléments indésirables (40% de cire, pollen et autres impuretés!) et ne conserver que les éléments actifs (résines, baumes, huiles essentielles). On obtient alors des extraits purs, uniquement chargés de la matière active, utilisés pour fabriquer de nombreuses spécialités destinées à la santé humaine.

De composition naturelle variable fonction des espèces végétales visitées par l’abeille, la propolis possède toujours la même activité d’un point de vue de la santé humaine.

LES ÉLÉMENTS ACTIFS DE LA PROPOLIS

La propolis est un produit complexe riche de près de 400 composés! La diversité d’actifs tous complémentaires assure à la propolis des propriétés thérapeutiques hors du commun :

  • Les flavonoïdes  antimicrobiens, antifongiques et antispasmodiques Les flavonoïdes représentent la grande famille (300 éléments!) des pigments des végétaux. On trouve notamment dans la propolis la chrysine, la pinocembrine, la galangine, la quercétine, pinobanskine (principaux flavonoïdes de la propolis), qui permettent une action anti-inflammatoire et antimicrobienne à large spectre.
  • Les composés phénoliques et acides aromatiques antibactériens et antifongiques

Chacun des composés phénoliques et acides aromatiques a une activité thérapeutique bien spécifique. Il s’agit notamment de l’acide caféique et ferrulique qui ont un pouvoir analgésique et anti-inflammatoire élevé.

  • Les acides organiques conservateurs, antiseptiques, analgésiques, anti-inflammatoires et anticoagulants,
  • Les Terpènes antiseptiques et aromatisants, les huiles essentielles antiseptiques, les oligo-éléments tels que le magnésium, zinc, fer, cuivre, silicium…

 

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Vecteur santé s’engage dans la protection de la forêt amazonienne

Vecteur santé s’engage dans la protection de la forêt amazonienne

VECTEUR SANTÉ PARTICIPE AU PROGRAMME « ZÉRO DÉFORESTATION »

Vecteur Santé participe au programme « Zéro déforestation ». C’est un élan de solidarité en faveur de la restitution des terres  autochtone par voie juridique (Equateur,Pérou). Cette action est portée par Arutam. Née en 1992, Arutam est une association française de soutien aux peuples autochtones en Equateur, au Pérou et au Mexique qui œuvre pour la protection de la biodiversité, des forêts, des territoires et des savoirs-faire autochtones.

L’Amazonie aura disparu en 2070, si nous ne faisons rien.

La déforestation compte pour un quart dans le réchauffement climatique. Parce que les forêts anciennes renferment un stock de carbone immense, elles vont dégager d’énormes quantités de gaz à effet de serre, si on les détruit. Avant de reboiser, il est urgent de ralentir la déforestation mondiale. 

Luttons ensemble contre la déforestation en Amazonie !

Chaque hectare de forêt amazonienne sauvé, outre le fait de protéger plusieurs espèces végétales qui nous seront peut-être utiles un jour, permet de stocker 650 tonnes de Carbone, soit 150 années d’émissions de CO2 d’une famille française ou 24 millions de kilomètres avec une voiture de petite cylindrée ! 
Le taux de déforestation est 17 fois plus faible dans les territoires indiens que pour le reste de l’Amazonie (Données ISA, Brésil 2006). En rendant leurs terres aux Indiens, nous ralentissons automatiquement la déforestation..

Les restitutions portent sur 365.000 hectares de forêts primaires, soit l’équivalent du Grand Paris.

Ce programme apporte un soutien financier aux indiens pour qu’ils puissent récupérer leurs terres ancestrales et ainsi s’opposer à l’exploitation irraisonnée de leur forêt. Dans un second temps, des projets de conservation et de développement sont mis en place pour permettre aux indiens d’obtenir des sources de revenus sans s’exiler dans les villes où ils se retrouvent exploités : 135.000 arbres replantés à ce jour. 

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