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V0807
Gommes Propolis Cassis pour aider à adoucir les voies respiratoires durant les périodes froides et humides.
Les GOMMES PROPOLIS CASSIS sont des gommes à sucer, conçues pour offrir un soutien naturel à la gorge et au système immunitaire. Ce produit associe la gomme d’acacia, la propolis, et des extraits de plantes comme le cassis et le bouillon blanc pour offrir un soulagement efficace en cas de maux de gorge.
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V283P
Pour le bien-être de la gorge et des voies respiratoires. Propolis + Réglisse.
Les GOMMES PROPOLIS RÉGLISSE sont des gommes à sucer, conçues pour offrir un soutien naturel à la gorge et au système immunitaire. Ce produit associe la gomme d’acacia, la propolis, et la réglisse pour offrir un soulagement efficace en cas de maux de gorge.
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Les os, le cartilage, les dents, ont besoin de calcium et de phosphore pour leur solidité et leur renouvellement. Une des fonctions principales de la vitamine D est la régulation du taux de calcium et de phosphore ; elle diminue leur élimination par les reins, augmentant ainsi leur absorption intestinale. Ce processus permet d’assurer une minéralisation optimale des tissus, notamment des os, du cartilage et des dents.
Chez l’adulte, elle participe au bon maintien de la santé osseuse. La vitamine D contribue à réduire le risque de chute associé à l’instabilité posturale et à la faiblesse musculaire. Les chutes constituent un facteur de risque des fractures osseuses chez les hommes et les femmes de 60 ans et plus. L’effet bénéfique est obtenu moyennant la consommation journalière de 20 µg de vitamine D, toutes sources confondues.
La vitamine D possède d’autres fonctions biologiques
Elle est impliquée dans de nombreux mécanismes cellulaires : elle soutient le fonctionnement normal du système immunitaire et le processus de division cellulaire.
Elle intervient dans le maintien de la fonction musculaire et d’une bonne santé en générale.
Elle joue un rôle essentiel dans le traitement de l’ostéoporose
Selon différentes études, la vitamine D pourrait également jouer un rôle dans la prévention du cancer du sein et du cancer colorectal.
L’insuffisance vitaminique D est génératrice d’ostéoporose, des données suggèrent un rôle propre de l’insuffisance ou carence vitaminique D dans la physiopathologie de l’ostéoporose. L’ostéomalacie (décalcification osseuse) est plutôt rencontrée dans les carences profondes, mais cette situation n’est finalement pas exceptionnelle, en particulier chez les sujets âgés vivant en institution.
La baisse des performances musculaires, l’altération des fonctions cognitives et l’augmentation du risque des chutes sont également l’apanage des personnes âgées et sont associées au déficit en vitamine D. L’étude de Flicker et al. précise que les taux de vitamine D les plus bas (< 25 nmol/L) sont retrouvés chez les personnes âgées à dépendance élevée (45 % de sa population), comparativement à ceux ayant une dépendance faible (22 %).
La carence en vitamine D serait également associée à la mortalité cardiovasculaire, en particulier l’hypertension artérielle, aux infections, à l’augmentation d’incidence de certains cancers (sein, côlon) et de certaines pathologies immunitaires. Enfin des données suggèrent que l’insuffisance en vitamine D a une influence sur la mortalité des populations et que l’apport de vitamine D pourrait réduire cette mortalité : une méta-analyse sur plus de 57 000 sujets orientait vers une réduction de mortalité de 7 % avec un traitement variant entre 300 et 2000 UI/j.
Les sources de vitamine D sont doubles : d’une part l’exposition à la lumière, d’autre part les poissons gras (l’huile de leur foie, notamment, dont la célèbre huile de foie de morue) et les coquillages. Ni l’une ni l’autre de ces sources ne suffisent à satisfaire les besoins de la population générale : en hiver les rayons solaires sont trop inclinés sur l’horizon pour permettre la transformation efficace du précurseur en vitamine D. Et, toute l’année, la consommation de produits marins adéquats est au-dessous des conseils régulièrement diffusés (trois fois 100 grammes par semaine de poisson de mer gras sauvage).
Selon des études prospectives au niveau de la Communauté européenne, 36 % des hommes présentent un déficit significatif, 47 % des femmes, 60 % des personnes des plus de 75 ans et… 90 % des personnes placées en institution. L’AFSSA (agence française de sécurité sanitaire des aliments) précise que « les apports nutritionnels conseillés en vitamine D ont été définis en considérant que la production endogène couvre 50 à 70 % des besoins quotidiens en cette vitamine ». Mais les apports ont été abaissés à 5 µg/j en 2000 de manière incompréhensible. En effet, toutes les études internationales à ce sujet affirment qu’une action réellement préventive et/ou curative ne peut être escomptée sans multiplier par quatre ou cinq les apports quotidiens conseillés.
Les personnes âgées constituent une population à risque, la limite d’âge étant située à 65 ans dans la plupart des études. Les personnes âgées vivant en institution sont très exposées au risque de carence vitaminique D. D’une façon générale, toutes les personnes ne s’exposant pas du tout au soleil (allergie solaire, lupus, conseils médicaux, vêtements couvrants, vie en institution quel que soit l’âge) ont une grande fréquence d’insuffisance et carence en vitamine D.
Les patients souffrant de maladies chroniques sont très fréquemment atteints : bronchopneumopathies chroniques obstructives, insuffisance viscérale, (cardiaque ou hépatique par exemple), cancers évolutifs.
Le diabète et l’obésité sont considérés comme grands pourvoyeurs d’insuffisance vitaminique D, il en est de même des femmes enceintes accouchant l’hiver ou au printemps.
Les personnes les plus concernées devraient donc envisager une supplémentation, d’autant que le risque de surdosage est quasi nul. Mais, même si vous ne faites pas partie des personnes à risque, vous avez de grandes chances d’être en carence de vitamine D et les situations d’insuffisance vitaminique D sont extrêmement fréquentes dans toutes les tranches de la population. Une étude française tirée de la cohorte « Suvimax » avait par exemple montré que les deux tiers des femmes d’âge moyen avaient un taux de vitamine D inférieur à 30 nmol/L. Les valeurs normales étant comprises entre 75 à 200 nmol/L.
Il existe plusieurs formes de vitamine D dans le commerce. Il semble toutefois que la D3 corresponde le plus à la vitamine D naturellement fabriquée par la peau : le cholécalciférol. Elle possède une activité biologique supérieure car lorsqu’on donne à des hommes une dose de 50 000 UI, le taux reste plus élevé dans le sang au bout de trois jours que lorsque ce sont d’autres formes de vitamine D, comme la D2.
Parmi les vitamines D3 disponibles sur le marché, la forme la plus intéressante est la Lanoline, aussi appelée cire de laine. C’est une substance présente sur la laine de mouton. C’est un mélange d’esters et d’acides gras avec des alcools à haute masse moléculaire qui forment une émulsion très stable en présence d’eau. C’est d’ailleurs l’un des rares produits d’origine animale qui soit autorisé par les labels de cosmétiques biologiques. (Nature et Progrès, BDIH). La vitamine D3 est fabriquée en exposant la lanoline à un rayonnement UVB de même longueur d’ondes que celui du soleil. Cette réaction de photosynthèse naturelle est la même qui se produit dans notre organisme. Elle donne des cristaux purs de vitamine D3 qui ne contiennent plus de lanoline même sous forme de traces. La vitamine D3 issue de la lanoline est donc parfaitement naturelle.
La plupart des fabricants proposent de la vitamine D3 issue de Lanoline sous forme liquide associé à de l’huile végétale. L’inconvénient de cette forme est la conservation de la vitamine D3, qui se révèle être très sensible à la chaleur, la lumière et l’oxydation ; ne permettant pas de garantir une vitamine D stable sur plusieurs mois. Or un flacon est prévu pour une utilisation de 3 à 6 mois, c’est pourquoi la forme la plus adéquate est la prise de Vitamine D3 sous forme de comprimés ou de gélules. L’idéal est de pouvoir associer la Vitamine D3 à des prébiotiques (gomme d’acacia, hydrates de carbones) qui vont favoriser une meilleure absorption intestinale par l’organisme.
Votre situation géographique : vous vivez dans une ville ou dans une région présentant un taux de pollution élevé. Le dioxyde de soufre, composant majeur de la pollution absorbe les rayonnements UV. Plus nous vivons au nord, moins nous avons de soleil, et plus nous devons veiller à notre taux de vitamine D.
Votre âge : Vous approchez la cinquantaine, vous avez une vie citadine et vous travaillez « à l’intérieur ». Agé de plus de 70 ans, la synthèse de la vitamine D3 est moindre car la peau devient plus fine. Les personnes plus âgées fabriquent moins de vitamine D, la dégradent plus vite et possèdent moins de récepteurs pour la capter. Leur taux est souvent faible, plus encore si les personnes sont en institution.
Votre mode de vie : vous portez des vêtements couvrants toute l’année ou vous avez une peau pigmentée (bronzage, les peaux de type foncé font davantage écran au soleil).
Votre protection : vous utilisez de manière systématique les crèmes anti-UVB (indice >15), celles-ci peuvent abaisser de 99 % les UVB pénétrant la peau.
Votre hygiène de vie et votre alimentation : vous pratiquez peu d’activité physique en extérieur. Vous ne mangez pas de poissons gras (moins d’une fois par semaine) ou vous suivez un régime végétalien.
Femmes enceintes ou allaitantes : elles ont des besoins spécifiques pendant ces périodes.
Vous avez eu des rhumes et des refroidissements à répétition cet hiver.
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L’histoire du charbon végétal commence en 1813. Un certain Bertrand, chimiste français, fait une démonstration publique. Il tient une fiole qui contient 5 g de trioxyde d’arsenic (1 cuillère à thé comble), de quoi tuer 150 hommes. Il lève le bras et porte le breuvage aux lèvres. Dans quelques minutes, il devrait ressentir les effets inexorables de cette drogue : nausée, vomissement, diarrhée, brûlure intense de la bouche et de la gorge, crampes atroces dans le ventre, déshydratation rapide et mort. Devant les yeux médusés et horrifiés de la foule, Bertrand vaque pourtant tranquillement à ses affaires et ne présente aucun trouble.
En 1831, un pharmacien de Montpellier nommé Touéry, effectue le même tour mais, cette fois, devant l’Académie française de médecine. Il avale 1 g de strychnine (10 fois la dose mortelle). Ce poison foudroie un homme en 10 minutes dans des convulsions incontrôlables et un arrêt respiratoire au milieu d’un rire nerveux effrayant, dont le spectacle ne s’oublie jamais. Pourtant, Touéry reste calme et détendu et n’a aucun trouble, à la stupéfaction totale des professeurs.
Le secret ? Bertrand et Touéry avaient tous deux étudié l’action du charbon végétal sur les poisons, en particulier avec des rats ; et tous deux ont voulu démontrer qu’ils avaient découvert l’antidote universel. Ce qui a pu être vérifié par la suite.
Aujourd’hui, on possède les preuves scientifiques que le charbon actif absorbe tous les poisons ainsi que les toxines bactériennes dans l’intestin. Depuis 10 ans, plus de 500 articles médicaux (uniquement en anglais !) ont offert plus de 10 000 références scientifiques sur le sujet. Le charbon est probablement l’agent de décontamination le plus simple, le plus valable et le moins cher que nous connaissions. Mais le public et les malades, et même beaucoup de médecins, ne le savent pas.
Pour être au maximum de ses possibilités, le charbon activé est obtenu en deux étapes :
La carbonisation : On calcine du bois en le chauffant à une température variant entre 600 et 900° en l’absence d’air.
L’activation : Le bois est recalciné aux mêmes températures, mais cette fois, en présence de vapeur d’eau, d’air ou de gaz oxydants. Ceci permet le développement d’un réseau de micropores qui seront de véritables pièges à molécules indésirables. Le charbon développe ainsi une surface de contact ou d’adsorption* phénoménale : 1 cm3 de charbon pulvérisé présente une surface totale de 1 km2 et 500 g de charbon contiennent 50 000 millions de pores.
*adsorption : processus par lequel les molécules liquides ou gazeuses se fixent ou sont piégées sur la surface d’un solide, dans ce cas, le charbon actif.
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Appelé aussi Ispaghul ou Plantain des Indes, Le Psyllium blond est une variété de plantain originaire d’Inde. Il est connu depuis des millénaires pour ses fibres mucilagineuses qui apportent confort et équilibre à l’intestin.
Il y a plus de 3000 ans, le psyllium blond faisait partie des plantes médicinales utilisées par les Égyptiens pour leurs vertus laxatives. Depuis quelques centaines d’années, il est utilisé en médecine traditionnelle indienne.
Plus proche de chez nous, au XIIème siècle, la célèbre religieuse bénédictine allemande Hildegarde de Bingen, dont les conseils et produits sont encore utilisés avec profit par de nombreuses personnes aujourd’hui, déconseillait l’usage de la graine de lin pour lutter contre la constipation. Elle conseillait le psyllium.
C’est en 1999 que l’Organisation mondiale de la santé (l’OMS) a considéré le Psyllium blond comme « un laxatif capable de restaurer et maintenir un transit régulier lors de constipation chronique, ou lors d’affections comme le syndrome du côlon irritable ou la diverticulite »
Puis, en 2005, l’Agence européenne du médicament (EMA) a considéré comme « bien établi » l’usage du psyllium pour « le traitement de la constipation habituelle, ainsi que toutes les situations dans lesquelles une émission de selles molles est nécessaire »
La variété la plus intéressante est le psyllium blond – Plantago ovata -, plantain originaire d’Inde, connue pour ses formidables propriétés. Son nom vient du grec « psyllia » (puce) en raison de la taille minuscule de ses graines (1000 graines pèsent moins de 2 grammes).
La parte active du psyllium blond ou ispaghul est le tégument entourant la graine. On récolte la graine puis on la sépare du tégument qui est trié, lavé et séché. La graine n’est pas consommée, elle ne présente pas d’intérêt médicinal ou alimentaire. C’est pourquoi beaucoup de personnes ont été déçues en utilisant des graines de psyllium noir entières à des fins médicinales pour des problèmes intestinaux, notamment contre la constipation. Il est donc très important de n’utiliser que des téguments de psyllium blond issus de cultures biologiques. L’absence de traitements par des pesticides sur les récoltes et de conservateurs est primordiale puisque l’on utilise l’enveloppe de la graine. Comme pour une céréale complète, la culture biologique garantira qu’il n’y aura pas de produits chimiques résiduels dans l’enveloppe des graines. En résumé, exigez toujours des téguments de graines de psyllium blond issus de cultures biologiques et sans adjuvant de fabrication ni conservateur.
Un régulateur idéal de l’intestin : la partie active du Psyllium est appelée le tégument, enveloppe riche en fibres mucilagineuses qui entourent la graine. En effet, ces fibres vont augmenter de volume et former un gel épais en absorbant jusqu’à huit fois leur poids en eau grâce à leur forte teneur en fibres solubles (+ de 70%).
Ce mécanisme va ainsi permettre de régulariser le transit intestinal par une double action :
– un effet de charge ou de lest grâce à l’augmentation du volume des selles, ceci réduisant le temps de transit
– une rétention d’eau importante des aliments ingérés permettant de garder des selles molles pour faciliter leur passage.
Cette action purement mécanique va permettre la régularisation du transit intestinal en favorisant le passage des selles en cas de constipation ou en redonnant une consistance optimale aux selles trop liquides.
Un coupe faim naturel : pris entre les repas, le gel épais formé par les mucilages provoque une sensation de satiété qui permet de limiter la prise alimentaire et donc l’apport calorique. Ce qui ne doit se substituer à une alimentation variée et équilibrée.
Un apport en fibres alimentaires : au-delà de ses effets immédiats sur le transit intestinal, le Psyllium contribue également à renforcer l’apport global en fibres alimentaire. En effet, en 2012, les premiers résultats de l’étude Nutrinet sur la consommation de fibres alimentaires en France (500000 participants) montre que 76% des hommes et 88 % des femmes ont des apports inférieurs aux recommandations préconisées.
Commencer par prendre une cuillère à café de psyllium blond dans grand un verre d’eau ou une boisson une fois par jour au moment du repas. Agiter vigoureusement et boire immédiatement. Rincez le verre et buvez l’eau de rinçage.
Puis progressivement, augmenter les fréquences puis les doses. On peut facilement aller jusqu’à 2 à 3 cuillères à soupe par jour en plusieurs prises. Toujours avec beaucoup d’eau.
Pour un effet spécifiquement modérateur d’appétit, mélangez une cuillère à café bien pleine de psyllium dans verre d’eau et consommez au minimum 1 heure avant les repas (cela donnera au psyllium le temps de faire effet au niveau digestif).
Vecteur Sante garanti une filière de psyllium biologique et respectueuse des critères du commerce équitable, qui fait travailler des centaines de petits producteurs de l’Inde rurale avec un soutien quotidien au niveau sanitaire, santé et éducation. Ce Psyllium blond biologique provient uniquement de la variété « Plantago Ovata », garantissant un produit 100% Pur et naturellement sans gluten. Il est conditionné et mis en gélule en France par Vecteur Santé sans aucun additif de fabrication.
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